12 kgs. de surcharge certes, mais 2 seringues dans le cul pour aller plus vite ! A l'Eau Reine, on est fier que Nidolactan, propre parmi les propres, réussisse à se glisser sur le podium entre un belge adepte de la tactique du porte-bagage et jadis entraîné par un polak verreux, et derrière un Sonku drivé par un Alex plus habitué à fréquenter la brigade des stups et la mondaine que les podiums du WCT.
Mais qu'importe les regrets, les écumeurs de dope paieront un jour leurs méfaits. Nidolactan reste un pur grimpeur dénué de toute ambition dans ce WCT, et mise uniquement sur son physique pour arracher un podium sur les étapes célestes.
Quant au gars Denis, vaut mieux ne pas en parler. Modeste rouleur, pour ne pas dire grosse merdasse, mais excellent grimpeur, enfin lorsqu'il est dans un bon jour, les étapes qui s'annoncent semblent taillées pour lui.
"Javou que la rivet à ma Crémento me plé bien" hurle le débile de l'équipe la plus enviée de la ligue América "mé monsieu Brico il veu jamé que je parte..."
Tiens, on l'avait oublié celui-là